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![]() oOo COLONNE, VENT
et la voix dont me berce le vent (ta voix), et me reberce la pluie
sous une mélan- colique colonne brisée nue
VENT
[…] vingt […] sur ton visage plaintif, et puis cette vingt et unième, qui est un baiser […] c’est que ta (profonde) féminité, d’abord, me fait du bien […] ton plaisir de femme, car je suis femme aussi à lèvres lisses sur tes lèvres lisses, plus tièdes et lisses que les miennes […]
(ah t’aimer, musicalement, toi, la moins terrestre, meurtrie d’ombres, sous cette pluie là-bas au-delà de la pluie et de cités humides de lunes, à humides flambeaux ; jusques à demain, jour) |
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