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![]() oOo Dans Freyja veille l’effraie Dans Freyja éveillée s’éveille l’éveil En cela nul effroi qui vaille Femmes y recourent sans l’ombre d’une hésitation Dans le creux de tes mains, amour, des grains de blé Fétus de paille s’envolent et barques se balancent, Tout ce passé de vie s’aventure dans l’avenir de ses masses ourlées, Toutes retombent à leur place assignée, Dans la froidure-même, le coup d’aile exalte, jamais n’effraie Un meurtre de corbeaux annonce le printemps, Et monte à l’assaut des cieux Tant de chemins frayés, de terres défrichées, Sous l’œil vigilant de Freyr A l’orée de sa mise, et de Freyja nulles traces ailleurs que là Jean-Michel Guyot |
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