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![]() oOo Soie scintillante et griffue de comète l’Unique aujourd’hui luit au ras de mon Ciel telle chez le Scythe du Nord la sainte, et noire, Aurore hyperboréenne. *
* Ce laborieux quasi-quatrain a été recomposé, de façon assez rhétorique et purement métrique, par Heinsius à partir de trois fragments eux-mêmes incertains, lacunaires et épars (cf. notre note au poème "Diad[ème]" ci-dessus). Au dernier vers, on peut sans doute aussi traduire : Aurore hyperboréale. |
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