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Article publié le 5 mai 2019. oOo Ce tronçon de pensée était comme un sentier jamais emprunté par personne. Tout le monde sachant peut-être qu’il ne menait nulle part et qu’il n’était qu’une collection de vieux arcs de triomphe tombés du cigare des fictions du temps. D’un seul coup le chasser pour tout remettre en train sur la ligne de fuite où les chemins mouvants sont comme une encre d’aubes qui ne pense à rien qu’à s’ouvrir à cela qui vient sur l’aile basse de perdrix des ombres. Ces évanescences peuvent engendrer une substance ardente ou un buisson de faînes au gosier magnétique d’arrières pensées ou ériger les tours d’indécentes et nues cloisons temporisées. Et quelque part un centre avec évasement pour accueillir d’envisageables réactions telles chaines de mémoire araires et sommeil et le bout du chemin.
Mais enfin, s’est-il produit quelque chose ? Charles-Albert Cingria |
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