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![]() oOo Les oiseaux les perdrix n’inventent jamais rien l’eau des pluies les routes sous la pluie les psaumes du brouillard ce brouillard n’invente rien mais on peut l’inventer on doit selon Popper l’approximer en même temps le monde a disparu y compris la loi de Popper Une antenne l’arbre le brouillard, les oiseaux sont couleurs de la disparition et plus d’automobiles de stations d’essence le sourire étroit des bas de soie des filles est comme la vitesse ou la mince inexactitude des tournants sur l’os des autoroutes qu’on n’invente pas mais sur lesquelles on se mélange à l’invisible aux perspectives écrasées aux vues non vues aux moutardes de flèches damassées d’yeux morts de poteaux voyageurs et de tagues surpris par la rapidité qui jase sur l’excessive mauvaise foi des routes |
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