A l’ombre du passé je marche sans chapeau dans la ville nouvelle à la rencontre du présent. Je délaisse avec chaque pas les miettes d’une vie non vécue Ah que c’est pesant, --------------
le bonheur interrompu !
Les voyageurs se croisent s’évitant du regard mêlant leurs pas sans le savoir dans les sillons de mon parcours
C’est le printemps dans la ville, j’avance la marche me suit.