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Article publié le 30 novembre 2009. oOo Quand l’épouvante s’enfuit devant minuit… Il y a René CHAR debout face à la couleur des vents. Il pense à Georges BRAQUE et trouve des mots lumineux pour faire jaillir le sang dans les artères du monde. Son œuvre trace le sillon de l’absolu dans la terre âpre de cette montagne qu’il défend face aux horreurs des barbares. René CHAR est dressé dans l’avenir. Situation de raison et de confiance dans les mystères des humains. |
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