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Article publié le 2 mars 2014. oOo Très blanche-neige ce matin de neige. Un si long entretien avec cette jouvencelle à skier ses fragments d’éternité comme neiges de sommets. Il neige dictent les larges yeux albinos de ce jour à ses lunettes. Lequel jour est sur ses chevilles comme un fil sans éperon qui n’est qu’un fin cheveu blanchi sous le harnais. Un entretien avec ce jour nouveau qui arrive en boitant en s’appuyant sur sa béquille qui s’écrit Princesse-Flocons-Blancs que skie la quantité est possible éperon. Car arrive ce prince qui recommencé se penche et fond en armes botté de baisers. Réveiller cette neige est comme un jour sans pain. Un jour d’antan sans cesse à réveiller sa pomme sur des lèvres rouges. Il neige maigrement sur le tif blanc lascif qui les genoux pliés cherche l’angle adéquat pour réveiller la neige en skiant sur sa gorge en goguette de flocons volants et son blanc consistant profond comme un corsage.
Les bottes maintenant. ça s’ouvre en bas. De toute façon. Très grand art. Très beaux flocons. Michel Vachey (La snow) |
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