L’abrutissement crasse de la chose sans nom
qui perturbe l’organe sériel (arc pulvérin)
espère peut-être retrouver la consistance du marbre
quand le marbre, accablé de fastes et de deuil,
se rêve nuage (on est au cœur de l’idiotie, voyez ?)
L’arc pulvérin est une véritable nuine, en fait.
Et la chose plaît à l’ignotron. D’accord !
Mais on n’en est pas encore, plus déjà là.
C’est clair. Même si la nuit est glaireuse avec ses plaques d’opacité amollie.
Non, le temps n’est pas encore à cela qui a déjà passé
et l’abrutissement qui est une substance pâteuse ne justifie aucunement les contractions du temps.
Le balai est cassé. Le café brûle. Le souvenir
perce ce qu’il peut dans un amas de débris recouverts d’une toile de tente.
Il y a ce qui hurle ici. Mais c’est idiot, idiot !
Et pourtant toutes ces choses se comportent comme
une composition abstraitement figurative. Tu flottes
dans une eau qui pourrait être ton propre sang. Pas de miroir.
Tu flottes simplement, idiot ou
abruti, dans les
aléas de ta peau.
Heureusement que le tapis est resté enroulé,
non ?