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Article publié le 21 mai 2017. oOo C’est la collision entre le monde de l’auteur et celui du lecteur, c’est la collision entre la puissance directe ou transparente du style et l’état d’esprit du lecteur, c’est la collision entre une matière première et la capacité d’une mémoire encore marquée. Toujours. C’est la collision de consciences. La parole célinienne continue, là, quelque part … Oui, une sorte de « viol prémédité », disait-il … Le fond et la forme, particulièrement homogènes, parviennent à se confondre, jusqu’à irriguer la tête du lecteur. Qu’il soit amateur, critique, exégète … L’esthétique narrative atteint parfois de tels sommets - une esthétique paroxystique en somme - qu’elle produit une déflagration irréversible dans le cortex. Oui, la lumière est forte, la lumière est crue, scintillante … La lumière est irradiante … |
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